Légalité, statuts, règlement intérieur.
Le cadre juridique de l’OHVP est une association du même nom régie par la loi de 1901, chaque membre de l’association versant une cotisation annuelle (10 euros pour la période 2016 2017, 15 euros pour la période 2017 2018, 15 euros pour la saison 2018 2019, 20 euros pour les saisons 2019 2020 et suivantes).
Il était prévu à l’automne 2018 de modifier ces statuts et de créer un règlement intérieur.
Finalement la modification des statuts fut refusée, avec discrimination, lors de l’assemblée générale le 12 octobre 2018 et le seul premier projet de règlement intérieur ci-dessus fut adopté, tout cela en présence du maire de Pornic et après intervention discriminatoire de soutien à P. Altmayer d’une élue municipale, Madame Christiane van Goëthem. C’est un texte extrêmement dur (le plus dur en France?), en matière de sanction (article 11), qui permet dans les faits au président de l’association ou à un autre membre du conseil d’administration de faire n’importe quoi vis à vis d’un membre musicien ou non musicien, y compris un élu municipal, sans rendre de comptes à qui que ce soit. Le second texte présenté était beaucoup plus équilibré et respectueux des droits de chacun.
Choix des tenues.
En vue de la cérémonie des vœux municipaux à la population (prévue le samedi 19 janvier 2019), le maire de Pornic demande (c’est à dire impose) au Président de l’OHVP, lors d’un entretien privé (au printemps 2018), de trouver pour cette occasion une nouvelle tenue de concert, « n’importe quoi pourvu que ça en jette » (sic), c’est à dire du clinquant d’abord et avant tout, et s’engage pour une dépense maximale de 8000 €. Le Président de l’OHVP, Philippe Altmayer, relaie ce souhait auprès du Conseil d’Administration le 27 juin 2018, sans aucun vote, il déclare d’autorité constituer un « groupe de travail » avec un élu municipal, M Fily (en charge de la culture), lui-même, une femme à trouver, il finit par désigner d’office Michèle Moreau malgré ses deux refus consécutifs, A Bergeron est volontaire, il refuse ce dernier de manière tacite, haineuse et discriminatoire en lui présentant son postérieur et en tordant sa tête d’un angle de π/6 dans une rotation d’axe sa colonne vertébrale, et il accepte au final la candidature (arrangée à l’avance) d’Alphonse Plaire, le brave homme à tout faire, tout cela sous l’œil distrait de l’élue Christiane Van Goëthem qui passe l’essentiel de la réunion à vaquer à ses occupations sur son ordinateur personnel sans se soucier aucunement des débats…
Jamais M Fily ne participera à aucune réunion du « groupe de travail », par contre A Bergeron est convié à la rentrée pour présenter le résultat de ses recherches, un gilet distribué par une société, société qui peut aussi compléter les autres tenues existantes et recréer une unité d’ensemble pour tout l’orchestre. Après une période trouble, au final la nouvelle tenue devient une simple chemise noire à logo accouplée à une cravate ou un foulard et à un nœud papillon, le tout d’origine française.