Dominique Seux: la pétrolette corne à 7 h 46.
Dominique Seux: la pétrolette corne à 7 h 46.

Dominique Seux: la pétrolette corne à 7 h 46.

Photographie prise par Dominique Seux et publiée sur son compte de gazouillage le 01 02 2022.

 

Bâillonné, Dominique Seux s'offre une petite partie de jambes en l'air dans les locaux de France Inter
Photographie de Dominique Seux bâillonné, une jambe en l’air, figurant dans son compte de gazouillage le 01 11 2022

 

 

 

 

 

 

Dominique Seux: biographie sommaire.

Dominique Seux naît le 17 juillet 1962. Il rejoint l’université, puis rentre en 1984 à l’Institut d’Études Politiques de Paris (IEP souvent appelé Sciences Po). Il devient journaliste économiste, il rejoint Le Bulletin Quotidien en 1989, Le Nouvel Économiste en 1990, puis enfin Les Échos en 1993. Actuellement, et depuis septembre 2022, il occupe le poste de directeur délégué de la rédaction des Échos.
Il est également éditorialiste économique matinal (durant deux minutes à 7 h 46 environ) à France Inter du lundi au jeudi, et, toujours à France Inter, il participe à une joute oratoire, surnommée “le débat économique”, le vendredi à 7 h 45, de septembre 2022 à juin 2023, contre Thomas Piketty, un homme cognant dur et au verbe taurin dépourvu de toute finesse, joute hebdomadaire donc, ponctuée par les billevesées de l’animateur Nicolas Demorand.
En septembre 2023 Thomas Piketty est remplacé par Thomas Porcher
En juillet et août 2023, avec quelques acolytes, il accapare, chaque samedi de 19 h 15 à 20 h, l’antenne de la radio France-Inter pour une émission nommée “l’écho de l’été”. Il prend soin de couper cette séquence en son milieu, par “une pause musicale”, c’est à dire qu’il allume son tourne-disques tout en étanchant discrètement sa soif…
Notre homme se rend à la maison de la radio en deux roues motorisé.
Il figure au “Who’s Who” depuis 2011.

HAINE FLUCTUANTE DES AUTOMOBILISTES, à 110.

Le 11 juillet 2022 il finit ainsi sa prestation:
“Allez, je vais me rendre impopulaire, mais tant pis: La limitation de la vitesse à 120 km/h sur les autoroutes pour les voitures thermiques serait une idée à creuser.”
(Prestation orale le 11 07 2022)

Le 30 août 2022, il se lamente à propos des Français qui ont bien profité de leurs vacances malgré l’inflation. Il termine par: “Mais ce qui est certain est que la saison touristique a été bonne. Un indicateur manque et m’intéresserait parce que ce serait un indice : les automobilistes ont-ils levé le pied pour consommer moins de carburants, sur les routes et les autoroutes ? Je n’ai pas l’impression.”
(prestation orale le 30 08 2022)

Le 7 septembre 2022 alors que Nicolas Demorand lui demande:
Emmanuel Macron n’a pas parlé de baisser de 10% la consommation de carburants…” il répond:
“Non, c’est une autre stratégie pour les transports, qui passe à 100% par le remplacement des voitures thermiques par des électriques. Et pas du tout par une baisse par exemple de la vitesse sur autoroute.

Ce serait pourtant la méthode la plus efficace et rapide pour les émissions de CO2 – mais comme j’avais il y a quatre ans défendu le 80 km/h, je reconnais que mon flair politique laisse à désirer.”
(Prestation orale le 07 09 2022)

Le 10 octobre 2022, il revient à la charge en terminant son coup de corne par:
“Pour rentrer hier soir des formidables Rendez-vous de l’Histoire à Blois, je n’avais pas d’autre possibilité que d’utiliser ma voiture … Et si il y a une chose certaine, c’est que 99% des automobilistes roulaient à 130 km/h – et certainement pas à 110 – comme a tenté (assez mollement il faut le dire) de les convaincre de faire le gouvernement. Conclusion : la méthode douce sur la sobriété conduit mollement à la pédale douce.” (Sic)
(Prestation orale le 10 octobre 2022)

→ Le 2 février 2023 il fait pourtant amende honorable en prônant, au lieu d’une marche forcée vers des automobiles électriques sans véritable avenir, une modernisation et une dépollution du parc automobile thermique existant.

Le samedi 8 juillet 2023 il monopolise l’antenne de France-Inter de 19 h 15 à 20 h, dans un dialogue avec Pierre Moscovici, premier président de la Cour des Comptes. Il revient à la charge avec son obsession d’une vitesse de 110 km/h sur autoroute, en ce jour de de circulation routière intense où on aurait aimé pouvoir atteindre cette vitesse… L’autre lui répond comme un falot mollasson…

Le jeudi 23 novembre 2023, il approuve globalement le “plan climat” présenté par la ville de Paris pour les années futures, mais il fustige le projet d’augmentation des tarifs de stationnement de certains véhicules, quel que soit leur mode de propulsion, en raison de leur masse, il prend aussi position contre le projet de réduction de la vitesse autorisée sur le boulevard périphérique parisien (70 à 50 km/h en septembre 2024).

Haine des élèves des écoles normales supérieures.

Le 27 février 2023, voilà que cet homme, ancien de “Sciences Po”, au sujet de la réforme des retraites, s’en prend aux élèves des CPGE, en particulier les normaliens, qui ont été rémunérés à leur entrée en grande école, dans l’ultime partie, insidieuse, de son coup de corne journalier … Peut-être pense-t-il que ces personnes n’ont pas travaillé?

On dirait qu’il découvre brusquement quelque chose, alors que cet état de fait existe depuis toujours, et existait plus largement pour les futurs professeurs en IPES.

Dominique Seux: citations, et dépravation.

Le 8 septembre 2022, il traite de “gamins” les adolescents âgés de 15 ans…
Le 12 septembre 2022, il scande deux fois: “moultezétudes”! Sans doute pour dire “moult études”, c’est à dire beaucoup d’études.
L’adverbe moult, dictionnaire de l’académie française.

Le 31 octobre 2022 il geint et se lamente en annonçant les très bons résultats des entreprises Airbus et Air France au prétexte qu’un avion pollue…
Le 31 octobre 2022, le pleurnichard de service
Le 10 janvier 2023: “ça c’est une fait que niouze”.
Le 2 février 2023: “à la fin d’mon édit haut”.
Le 3 février 2023: “Le risque en France est d’être plutôt fobe que file”, “L’Europe n’arrive pas complètement à poil”.
Le 17 février 2023, il glisse, dans son “débat” avec Thomas Piketty: “la seule chose qui m’intéressait ce matin, c’était de chauffer ou pas mes gants de scooter”.

Gazouillages.

Le premier février 2022, il commente ainsi la photographie en haut à droite:
Quatre jours que ces scooters renversés par un camion traînent au bas de la Maison de la Radio …
Mon commentaire: pourquoi ne s’en occupe-t-il pas lui-même?