Pour cette station de radio France
Inter qui fut radio d’État, on trouvera ici d’innombrables citations,
une analyse de l’usage de la langue française, une analyse du repli sur
soi et de la pratique de l’entre nous de la rédaction et d’une partie
des journalistes qui réduisent de plus en plus l’ensemble de la France à
une reproduction de leur groupe ce qui les éloigne du pays véritable,
une analyse de la prise de position insidieuse, de la haine de certaines
personnes en raison de leurs idées ou de leurs choix politiques, des
erreurs, des approximations volontaires, de la maltraitance ou la
négation de certaines informations scientifiques, de la promotion
omniprésente de certains livres lors de leur parution par le biais de
l’invitation à l’antenne de leurs auteurs, une analyse de la technique
consistant à faire dire un invité ce qu’on n’a pas tout à fait le
courage de dire à titre personnel mais qu’on souhaite imposer à
l’auditeur.
Ce média se targue d’avoir six millions d’auditeurs chaque jour à la fin de l’année 2016.
Autre site critique des médias : http://www.acrimed.org/
Site Internet officiel de la radio France Inter, qui comporte les
enregistrements dont quelques extraits sont présents sur ce site : https://www.franceinter.fr/
Sommaire
Pour accéder plus rapidement à certaines rubriques, cliquer sur un texte ci-dessous.
- Prises de position insidieuses…
- Présentateurs et journalistes de France Inter
- Citations d’antenne à France Inter
Conditions de réception de la radio France Inter
A la fin de l’année 2016, les émissions
sont coupées et interrompues au moins une fois par jour de manière
intempestive par une voix féminine anonyme qui annonce la fin de la
diffusion de la radio France Inter sur les grandes ondes (1852 mètres)
le 31 décembre 2016 à 24 h. Il en résulte un repli sur soi sans
précédent, une réduction considérable de la couverture de ce média,
audible du sud de l’Islande à la Yougoslavie, de la Biélorussie au
Portugal jusqu’au 31 décembre 2016. Ainsi c’est dans ma voiture au début
du mois de mai 1993, en revenant de Moscou, que j’ai appris, entre
Minsk et Vilnius, le suicide de Pierre Bérégovoy…
France Inter est donc devenu audible seulement dans une partie de la
France en modulation de fréquence à partir de janvier 2017! Et dans
quelles conditions… Rien à voir avec l’excellente qualité de la
réception en grandes ondes. Dans la région de Pornic, sous cette
nouvelle fréquence, l’émission est perturbée au moins une fois toutes
les cinq minutes par des borborygmes.
A la suite de cette remarque, ces borborygmes disparaissent à la
mi-janvier 2017, réapparaissent le 13 mars 2017, disparaissent en mai
2017.
Slogans à l’antenne de France Inter
« Sur France un terre, point hait faire! »
Martelé sans relâche vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept, a succédé à :
« Sur France un terre poing comme ».
Traitement de l’auditeur de France Inter
L’auditeur est de plus en plus
considéré comme conforme à l’idée que la direction de France Inter se
fait de cet auditeur et au format auquel cette direction entend le
réduire, c’est à dire un être humain doté des particularités suivantes.
Il habite en périphérie d’une ville
importante, il boit du café plusieurs fois par jour, y compris devant
une machine au sein d’un groupe pour échanger des billevesées, il est
salarié, il abhorre son chef d’entreprise et les chefs d’entreprise en
général, il hait les voitures de fonction, ses enfants adolescents
portent « des baskets qui puent » (sic), il est aigri, il est mauvais
élève ou ancien mauvais élève en milieu scolaire, il a la haine des
mathématiques, il se déplace pour aller travailler, il fait ses achats
dans une grande surface commerciale, il travaille, à contrecœur, du
lundi au vendredi, en étant convaincu de perdre sa vie à la gagner, il
regarde la télévision vautré sur un canapé, parfois en braillant toutes
les cinq minutes « Allez les Verts » et s’en resservant un (un verre…),
il dort sous une couette après avoir roulé en boule et caché sous un
lit ses chaussettes (sic!), il consomme de la marijuana, il est
favorable à un usage totalement libre de toutes les les substances
vénéneuses, il part en vacances durant l’été, en voiture, un samedi
matin, du nord vers le sud, pour aller dans un camping, ou dans une
location (faite sur Internet auprès d’un escroc sans visite préalable
pour s’enivrer dès son arrivée le soir même, faire griller en plein air
de la viande de porc tous les jours, et bronzer sur une plage sans
aucune activité culturelle.
Il n’exerce pas une profession libérale, il n’est ni agriculteur, ni
éleveur de chevaux, ni entraîneur de chevaux, ni moniteur de ski à son
compte, ni militaire, ni pilote d’avion privé ou professionnel.
Le locuteur à l’antenne présente souvent à
l’auditeur un « décryptage » de faits ou paroles, ce qui signifie qu’au
préalable ces faits et paroles ont été volontairement cryptés pour
n’être connus que des membres d’une caste supérieure dont ce locuteur
est un des représentants, d’échelon subalterne.
On lui assène, on lui martèle « on aime, on vous en parle », « ceci est le choix culturel », « la prescription culturelle ».
C’est à dire que les goûts et les choix de l’auditeur ne peuvent être
que ceux de la rédaction, en matière de culture l’auditeur a le statut
de zombie, d’esclave.
Exemple: « un vieux blues comme ON les aime »,
Jacques Monin, le 21 janvier 2017 après 13 h 20, qui confond là sa
propre personne avec les auditeurs et le reste de l’humanité qui ne
semble pas avoir voix au chapitre!
A la suite de ce signalement, le langage s’adoucit début février 2017 chez certains intervenants, on évoque alors par exemple « un conseil de lecture », jamais dénué de publicité…
Pratique de l’entre soi à France Inter
Il s’agit de séquences pendant lesquelles les locuteurs font comprendre qu’ils sont là pour être entre eux et n’ont absolument rien à faire de l’auditeur.
Une grande partie de l’année, du lundi
au vendredi, avant 7 h, plusieurs minutes sont consacrées à des échanges
de billevesées et des commentaires relatifs aux émissions de télévision
passées ou à venir et à leurs animateurs, puis à une séance d’insultes à
l’adresse d’une personnalité politique, le tout suivi d’une séance de
dévotion, de louanges, de sobriquets consacrée à la personne de Patrick
Cohen lorsqu’il prend la relève à 7 h. En un trimestre Patrick Cohen
reçoit de la sorte plus de louanges que n’en ont reçues à eux tous
durant la totalité du vingtième siècle le Chinois Mao Tsé Toung, le
Coréen Kim Il Sung, le Soviétique Iossif
Vissarionovitch Djougachvili, le Roumain Nicolae Ceausescu, le
Bulgare Georgi Dimitrow Michajlow, le Hongrois Janos Kadar, l’Albanais
Enver Hoxha, le Français Philippe Pétain, le Français Charles de Gaulle,
L’Autrichien nommé Chancelier de la République de Weimar en 1933,
l’Égyptien Gamal Abdel Nasser…
(Exemples: il est le taureau de l’acte tue, l’étoile du matin, le phare de l’humanité).
Le 21 janvier 2017 après 7 h 30 une
minute est consacrée au handball, non pas du tout pour des résultats
sportifs, mais pour la question cruciale de savoir « qui diffuse
(comprendre quel média retransmet) les rencontres sportives »…
Exemple de billevesées entre animateurs, pendant que l’auditeur, qui paye sa contribution à l’audiovisuel public, attend, attend, attend… Le 12 février 2017 à 6 h.
Le 17 février 2017, pendant le journal de 13 h : « alors que vient de
s’éteindre le portable d’Emmanuel Leclerc » (Alain Passerel).
Le 23 février 2017, dans sa « revue de presse » contrôlée par Patrick
Cohen, Hélène Jouan déclare « ce matin j’ai lu clauseur, Patrick ».
Le 13 mars 2017, vers 8 h 40, Patrick Cohen déclare, avec un solécisme, à Sophia Aram, : « vous racontez toujours des très belles histoires Sophia ».
Le 15 mars 2017, vers 8 h 40, Patrick Cohen félicite Nicole Ferroni pour
le fait qu’elle est en perpétuel mouvement et que par conséquent il est
impossible de l’identifier car ses photos sont floues…
Exemple de « revue de presse » par le duo Patrick Cohen et Hélène Jouan le 5 juin 2017, avec sexe, pornographie, obscénités et promotion de la consommation d’alcool.
« J’ai cru que vous alliez nous parler de claquettes et de chaussettes, j’ai eu peur » (Marc Fauvelle, qui interrompt ainsi brutalement le journal de 7 h 30, le 11 juillet 2017).
Célébration du nouvel an
Chaque année les tout premiers jours de l’année donnent lieu à l’antenne à un décompte des jours de congé et des possibilités d’en profiter pour « faire un pont » et de gérer en conséquence les « hères tétés (sic, RTT?) ». C’est à dire que les locuteurs confondent leur propre statut et leurs propres aspirations avec ceux des auditeurs. Il est bien connu que le sujet des jours de congés est la première préoccupation des agriculteurs et des entraîneurs de chevaux par exemple…
Discriminations fondées sur les opinions politiques
A l’occasion des élections présidentielles françaises, en février
2017, un nouveau type d’émission apparaît, nommé: « Allons en France »
(ah bon l’antenne de France Inter est-elle hors de France?), ou « à la
rencontre des nouveaux
électeurs du Front national ». Il s’agit alors d’envoyer une équipe hors
de Paris, qui a pour mission de se comporter comme une troupe coloniale
et d’interroger au hasard des personnes considérées en filigrane comme
pathologiques ou anormales…
A la suite de ce signalement, ces reportages deviennent immédiatement neutres et souvent anodins et axés vers un sujet précis.
Discriminations territoriales: Toulouse.
La région de Toulouse est particulièrement sollicitée pour des
reportages et des conversations de toute nature, sans aucune nécessité
particulière. Quand un sujet intéresse toute la France et appelle un
reportage ce dernier est effectué de préférence à Toulouse ou près de
Toulouse;
ainsi une grève nationale affectant le SNCF, des occupations d’universités dans toute la métropole.
Ainsi le premier mai 2018 à 7 h Frédéric Bourgade intervient
discrètement par le biais d’un entretien avec un étudiant à l’université
du Mirail à Toulouse pour évoquer toutes les occupations d’université
en France.
C’est un trio de journalistes de choc qui officie sur place :
Frédéric Bourgade
Alain Gastal
Stéphane Iglésis.
Prises de position insidieuses à l’antenne de France Inter
La Russie
Il y a confusion systématique à l’antenne entre la Russie et son dirigeant Vladimir Poutine (en général généreusement insulté et dénigré).
Donald Trump, président des États-Unis d’Amérique investi le 20 janvier 2017.
Jusqu’au début de février 2017, il est
présenté ou traité systématiquement comme un mégalo-narcissique, un
ignorant, un salaud, une ordure, un ennemi des femmes, un machiste, un
ennemi de l’humanité, un ennemi de la planète, un sous-homme rejeté de
manière universelle, un homme proche ou trop proche du peuple (« un
populiste »), un homme trop riche en butte aux conflits d’intérêts, un
diviseur, un fasciste, un homme sur la même ligne que le Chancelier du
Reich en 1933, un homme qui va transformer les États Unis en camp de
déportation, un homme aux cheveux à la couleur non seyante…
Le jour de son investiture, Bruno Duvic (journal de 13 h) invite le
vice-président de l’annexe française du parti républicain des USA, il
essaie de lui faire dire que le Président Trump est un diviseur car au
moins 50 parlementaires seront absents aux cérémonies de l’investiture,
il sous-entend (sans le dire) que ces absents entreront dans l’histoire
au même titre que les 80 parlementaires français qui ont voté contre les
pleins pouvoirs au Maréchal Pétain en 1940, peine perdue car son
interlocuteur lui rétorque que ce sont ces absents qui sont les
diviseurs (absents qu’il qualifie même d’êtres « déguelasses » )…
Le même jour après 19 h Alain Passerel affirme à propos de cette investiture « c’est fait, ce n’était pas qu’un mauvais rêve ».
Il est traité de « prédicateur de haine » le 12 février 2017 après 19 h,
par la journaliste Camille Revel, qui dit citer le Président de la
République fédérale allemande.
Après son élection on présente un temps comme certaine sa future
destitution, la seule question qui vaille étant la date de cette
destitution.
Curieusement on passe sous silence un fait qui peut mettre en doute les facultés intellectuelles de Donald Trump: ce dernier a essayé à la fin des années 1990 d’acquérir le Palais du Peuple situé à Bucarest pour en faire en casino, un hôtel, bref un lupanar à sa mesure, le plus grand lupanar de la planète. Les Roumains s’y sont opposés, mais il reste que cet homme a tenté de souiller de la manière la plus immonde les acquis de la grande révolution bolchévique d’octobre 1917 et des évolutions progressistes qui ont suivi la deuxième guerre mondiale en Europe.
Les syndicats d’enseignants de France
Systématiquement à l’antenne le SNES (syndicat national des
enseignements du second degré) est qualifié de « SNES, principal
syndicat d’enseignants du second degré » sans aucune mention de sa
proximité avec l’ensemble de la gauche.
Systématiquement à l’antenne le SNALC (syndicat national des lycées et des collèges) est qualifié de « SNALC, classé à droite ».
Exemple : le 3 novembre
2017, Sonia Bourhan (présentée comme « spécialiste éducation », sic)
intervient dans le journal de 13 h en diffusant un entretien avec un
responsable du « SNES principal syndicat d’enseignants du second degré »
(sic), ce responsable fustige le projet de réforme du baccalauréat
annoncé par le gouvernement, puis elle intervient de nouveau dans le
journal de 19 h en diffusant un entretien avec M Jean-Rémi Girard, un
des dirigeants du « SNALC syndicat d’enseignants classé à droite »
(sic), et justement ce responsable approuve le projet de réforme
gouvernemental du baccalauréat car il va dans le sens de ce que le SNALC
préconise depuis plusieurs années.
L’auditeur non averti ne peut que déduire de cette journée de radio que le projet de réforme du baccalauréat est « de droite ».
Informations mystérieuses à France Inter.
« C’est une information France un terre »
Jargon mystérieux, dont on attend en vain le sens…
Informations retenues, travesties à l’antenne de France Inter.
Enneigement des massifs montagneux en période de vacances scolaires
Systématiquement lorsque cet
enneigement est faible à l’approche des vacances scolaires françaises,
l’information est retenue, biaisée ou diffusée de manière détournée,
tout cela de manière concertée.
Exemple en fin d’année 2016, où il n’y a
pas d’enneigement naturel au-dessous d’une altitude de 2000 m pour cause
d’anticyclone persistant. Le 16 décembre 2016, avant 13 heures,
Philippe Bertrand, présentateur de l’émission « Carnets de campagne »,
donne la parole à Jean-Yves Courtial pour les informations boursières
avec ce commentaire: « alors la bourse est aussi haute que les flocons
de neige », puis, juste après 13 h Bruno Duvic, qui dirige le journal de
13 h, ordonne exceptionnellement au présentateur des prévisions
météorologiques, qui ordinairement se contente des prévisions pour la
journée, de donner des prévisions jusqu’au 22 décembre, justement le
premier jour où on prévoit une dégradation avec quelques chutes de
neige… La suite montre que cette prévision de chutes de neige pour le 22
décembre était erronée, la neige tombe en fait une seul fois dans la
semaine et en petite quantité le 20 décembre, et il faut attendre
jusqu’au vendredi 23 décembre pour entendre parler de l’enneigement
inexistant en cette fin d’année, dans le cadre d’un reportage dans la
station vosgienne de la Bresse, reportage qui fait la part belle à la
promotion des boissons alcoolisées, qui elles ne manquent pas sur place,
en particulier pour aider la journaliste à conclure. Nouveau reportage
le 26 décembre 2016 après 7 h dans la station alpine de Valloire, sur
fond de manque de neige, la conclusion revient à un homme complètement
ivre affalé sur une table beuglant « le fromage et le pinard c’est ça
l’essentiel! ». Moralité: qu’importe la neige pourvu qu’on ait l’alcool!
Vallée de Chamonix, vallée de l’Arve
Durant l’automne 2016, la vallée de Chamonix est touchée par des épisodes de pollution atmosphérique consécutifs à une situation météorologique anticyclonique persistante, le mot Chamonix disparaît brutalement et est remplacé par le nom de la rivière locale, moins connue. Je suis convaincu que ce changement n’est pas le fruit du hasard…
Le vol de deux fusils d’assaut Famas et d’un chargeur à La Verpillère (Isère) le 2 février 2017
Ce fait divers a été complètement censuré à l’antenne de France Inter.
Le transfert du crâne de Descartes au Prytanée militaire de La Flèche.
Le 27 décembre 2008, en fin de journal de 7 h 30, on aborde le sujet
du transfert du crâne de Descartes d’un musée parisien au Prytanée
militaire de la Flèche. Le journaliste indique qu’il n’y a pas de musée
au Prytanée, c’est faux, il y en a un, ouvert au public lors des
visites.
Le journaliste a manqué de neutralité, on sentait qu’il était opposé au
transfert, qu’il n’aimait pas le premier ministre François Fillon, et
qu’il n’aimait pas l’armée. Il n’y a eu aucun entretien avec M Jean
Petit, professeur de lettres classiques, et vice-président de la Société
des Agrégés, M Petit est à l’origine de la création de l’association
des amis de la bibliothèque du Prytanée association demandeur de ce
transfert.
Lundi 11 novembre 2013
Plusieurs fois dans la journée « quelques dizaines de personnes ont perturbé les cérémonies du 11 novembre, il y a eu 70 arrestations ».
On attend une étude approfondie et des explications. D’après les vidéos
et aussi les reportages sonores à l’antenne, c’est la majorité voire la
totalité des personnes présentes qui, par milliers, ont hué le chef de
l’État, à Paris puis Oyonnax. Et d’après les chiffres donnés à
l’antenne, il y aurait donc eu plus de personnes arrêtées que de
manifestants? Donc des arrestations préventives comme le soutient un
membre du Front National?
Informations dévoyées à l’antenne de France Inter.
- La « démocratie » est systématiquement présentée comme un objet d’adoration, les périodes d’extase coïncidant avec les périodes électorales. Une bonne analyse permet de comprendre qu’en fait la démocratie est encensée à l’antenne car c’est un terrain favorable à la multiplication des journalistes…
- La mission spatiale de l’astronaute Thomas Pesquet, du 17 novembre
2016 au 2 juin 2017, dans la Station Spatiale Internationale. Elle est a
été presque systématiquement réduite, dans chaque reportage, à des
billevesées relatives aux tâches matérielles, à la nourriture, à
l’hygiène à bord, à l’usage des toilettes, à la musculation à bord. Il
n’y a rien eu ou presque au sujet des buts scientifiques de la mission; à
France Inter on estime que l’auditeur n’est pas capable de les
comprendre…
On ne manque pas de rapporter, après son retour sur terre, qu’il aurait déclaré avoir estimé irresponsable le retrait américain des accords de Paris relatif au climat, et qu’il aurait pu se rendre compte depuis l’espace « combien la planète terrestre était fragile » (6 juin 2017 journal de 19 h).
Informations falsifiées
Pornographie.
Le 25 février 2020, à propos du scoutisme:
https://www.youtube.com/watch?v=IgHz6Na1hYA
On remarquera le comportement de l’entraîneuse de service, Constance Pittard, bourrée de tics…
Informations météorologiques à France Inter
Le 14 juillet 2013 Jacques Kessler présente son dernier bulletin
météorologique, à l’occasion de son départ il ne manque pas de rappeler
l’humiliation permanente que subissent à l’antenne de France Inter les
prévisionnistes de Radio France qui n’ont parfois que quelques secondes
pour résumer un bulletin de plusieurs minutes préparé avec soin et
conscience professionnelle.
Le 27 décembre 2015 c’est au tour de Joël Collado de partir.
…. (passage à modifier début)
Jusqu’à ces derniers mois, l’absence des prévisionnistes de Météo France des studios de Radio France n’était pas un sujet. Joël Collado officiait depuis Toulouse, Jacques Kessler était basé à Marignane et son successeur, Elodie Callac, jouissait d’un studio installé à Saint-Mandé. Cette particularité, qui empêchait tout échange primordial sur l’épaisseur d’un col roulé ou la couleur d’un tee-shirt, aura bientôt vécu : à partir du 4 janvier, la jeune femme fera la pluie et le beau temps sur Inter et Info, à la mi-journée puis en fin d’après-midi, depuis les studios de la Maison de la Radio. Seul Jean-Michel Golynski, le météorologue des week-ends, continuera d’évoquer dépressions et anticyclones depuis Villeneuve d’Ascq. « Le ton de la météo sur les antennes de Radio France évolue, reconnaît Marie-Ange Folacci, directrice de la communication à Météo France. Il y a une volonté de proximité et de connivence avec l’auditeur, une envie de partage. Peut-être pour capter des auditeurs plus jeunes ? »
A la rentrée de septembre, Marie-Pierre Planchon l’irremplaçable « voix » de la météo marine, s’est, sur France Inter, assise à la table de Patrick Cohen, au côté de Thomas Legrand ou Léa Salamé. « La météo est devenu un sujet d’actu permanent, ajoute-t-on à Météo France. Et les présentateurs sont interpellés au même titre que des journalistes, ou des experts. » Au passage, l’intérêt grandissant pour la sacro-sainte couleur du temps permet de « féminiser » les antennes à bon compte.
Pour Michel Polacco, secrétaire général de l’information à Radio France, la plupart des anciens dirigeants d’Inter et Info avaient déjà cette envie « d’avoir les gens en studio » plutôt qu’au téléphone. Un « changement de modalités financières » imposé par Météo France, moins avantageux, et l’imminence d’un prochain appel d’offres n’auraient fait qu’accélérer un processus devenu aussi inéluctable que le changement climatique. Et presque aussi stratégique……(fin)
Après 2015 presque systématiquement tout bulletin météorologique
diffusé à l’antenne de France Inter est dénaturé et sali par l’animateur
en poste lors de la diffusion de ce bulletin. Cet animateur commence
par saluer le prévisionniste, ce dernier le salue à son tour, puis
l’animateur le coupe sèchement pour tenter de résumer le temps à sa
façon (avec force jeu de mots et erreurs à l’occasion), le
prévisionniste reprend la parole, commence par un « Oui » sur
un ton de lassitude, d’agacement, voire de haine, puis décrit le temps
prévu en métropole, l’autre le coupe de nouveau, toujours aussi
sèchement voire bestialement, par un groupe de mots d’où émerge « température » (par exemple « côté température » ), le prévisionniste humilié reprend quand même le fil de son discours pour le terminer tant bien que mal.
Une exception: Thierry Hameau, prévisionniste, présente ses bulletins
avec une diction et une syntaxe parfaites, et n’est jamais coupé.
Cela peut être bien pire, ainsi:
Exemple de « bulletin météorologique », entendu le premier juin 2017 à 6 h 55.
Comportement criminel, car une information météorologique est une information de sécurité à laquelle ont droit tous les usagers de la voie publique, en particulier les pilotes de deux roues, pour eux une information erronée peut être la dernière information de leur existence…
Le 23 juin 2017 avant 7 h on entend : « treize départements démissionnent de leur vigilance orange » (Marie-Pierre Planchon).
Le 26 août 2019 le point journalier de bourse avant 13 h est remplacé par un minuscule bulletin météorologique, présenté par un prévisionniste de Météo-France et dénaturé par Philippe Bertrand aux aguets du lundi au jeudi. Quelques semaines plus tard Philippe Bertrand entreprend de dévoyer encore plus ce bulletin en imposant chaque jour au présentateur de donner le lendemain la température du jour prévue dans une commune précise de France…
Sujets obsessionnels, récurrents à France Inter.
L’entreprise Doux, basée à Châteaulin, active dans le domaine agroalimentaire, surtout depuis 2004.
Pourquoi cette entreprise est-elle citée systématiquement à l’antenne dès qu’elle connaît des difficultés ou qu’elle doit licencier, alors que ce n’est pas la seule entreprise française en difficulté, mystère…
Circulation routière
De 1968 à 2016 il a existé, à Rosny sous Bois, le CNIR (centre
national d’informations routières), le journaliste Christian Magdeleine y
a commencé ses premières informations routières en 1973, il a intégré
France Inter en 1981 et en est parti le 31 mars 2009, après avoir donc
guidé les automobilistes depuis Rosny sous Bois pendant 28 ans, surtout
lors des périodes chargées, toujours avec correction, bonne humeur et
une précision hectométrique.
Le « guidage » des automobilistes est actuellement fait depuis un « pet
c’est de mobilité radio France » (sic), il est assuré par de jeunes
« esclaves » dont l’intervention est annoncée par un grand cri du chef:
« la route! » quelques secondes avant le début ou la fin d’un journal
(par exemple quelques secondes avant 7 h 30) et consiste essentiellement
à donner le « nombre de kilomètres de bouchons cumulés » en métropole,
« cumulés » cet
adjectif glissé mécaniquement revient avec obsession… On finit par
comprendre qu’il s’agit de la somme des longueurs des bouchons! On a
droit au mieux aux numéros des voies concernées.
En juillet et en août, les automobiles ne circulent pas, « elles montent » ou « elles descendent », un point c’est tout.
Autres expressions qui reviennent de manière lancinante: » dans ce secteur », « levez le pied », « c’est compliqué ».
On touche là au paroxysme du mépris de l’auditeur couplé au mépris de l’intervenant du « pet c’est de mobilité ».
Exemples de « guidage »: » l’autoroute a été compliquée tout l’après-midi dans le secteur car il neigé dans le secteur » (Lola Fourmy, juste avant 19 h 20, le 11 février 2017).
« Un axe très compliqué, la 43 » (Jules de Kiss, 18 février 2017, 8 h 30), « c’est compliqué, il faut se coltiner la route » (le même, le même jour, après 13 h).
Exemple « d’information routière » communiqué par le « pet c’est de mobilité » le 28 mai 2017 en fin de journée.
« Vocabulaire spécifique »
« Bison futé » : expression absconse et infantilisante, héritage du publicitaire Daniel Robert (1976), toujours utilisée en 2017 (Lola Fourmy, le 5 juin 2017, après 19 h).
Peurs et falsifications.
Le 9 février 2017, après 7 h 15 un agriculteur signale avoir vu un
loup passer près de chez lui dans les Hautes Alpes, horrifiée la
journaliste le coupe: « vous n’avez pas eu peur? » (sic). Et
ce alors qu’à de nombreuses reprises des invités à l’antenne se sont
évertués à tenter de démystifier cette peur du loup irraisonnée qui
hante la société depuis des siècles…
Le 18 juin 2017 Frédéric Pommier signale qu’une galette des rois mangée
en partie par François Fillon avait un chat noir comme fève et que
c’était donc un mauvais présage pour lui…
Publicités et promotions sur l’antenne de France Inter.
Depuis avril 2016 la publicité de marque est autorisée sur les ondes de France Inter. Extraits d’avant et d’après:
La saga des poulets de Loué.
Ah ces poulets, ils reviennent caqueter
et souiller l’antenne tous les ans en décembre en compléments des
bulletins météorologiques!
Le 31 décembre 2016 avant 6 h 30 le présentateur météorologique
Jean-Michel Golynski fait l’éloge des poulets de Bresse (capables de
résister au froid) après avoir subi une fois de plus l’humiliation des
poulets de Loué…
Pornographie, atteintes à la dignité humaine, discriminations fondées sur le sexe.
- Novembre, décembre 2016 plusieurs fois
par jour: long rapport sexuel oral imposé de force et subi par une
jeune femme qui finit, au bout d’une minute de râle, par se décider à
choisir un véhicule de fonction Mercedes-Benz…
En particulier: diffusion le 8 décembre 2016 à 20 h.
En alternance une publicité du même acabit, mais sans connotation sexuelle jusqu’au 12 décembre, met en scène deux hommes. Le 13 décembre 2016 à 8 h 40 apparaît une nouvelle version entièrement masculine, elle aussi avec rapport sexuel oral imposé.
(A la suite de ce signalement, de la parution de cet article sur mon site, cette publicité a disparu des ondes).
Publicité Mercedes-Benz
Le constructeur automobile revient à la charge sur l’antenne le 14
février 2017, sans pornographie cette fois-ci, mais en ces termes
orduriers : « t’aurais pas trois cents balles à me dépanner? ».
A la suite de ce signalement, cette publicité disparaît aussitôt de
l’antenne, dès le 15 février 2017 ce n’est plus qu’un mauvais souvenir.
Hélas elle revient discrètement en mai 2017, avec quelques séquences pornographiques de nouveau!
Escroqueries à la santé et barbarismes.
Conséquence de certaines obligations imposées aux employeurs à compter du 01 01 2016:
https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F33754
Présence obsédante à l’antenne de
publicités relatives aux assurances de santé complémentaires au régime
général de la sécurité sociale, assurances qualifiées de
« complémentaire santé » ou même « complémentaire » tout court.
Incitation à la consommation d’alcool à tout âge, publicité pour les boissons alcoolisées.
Thème omniprésent à l’antenne, au moins
en filigrane, à l’attention de tous les auditeurs de tous âges, de
toutes religions, majeurs et mineurs: une fête n’est pas une fête sans
soûlerie, tout séjour en station de sports d’hiver à tout âge doit
comporter une période de beuverie et d’ivresse collective.
Le 26 décembre 2016 après 7 h, en fin de reportage dans la station de
sports d’hiver alpine de Valloire, sur fond de manque de neige, la
conclusion revient à un homme complètement ivre affalé sur une table
beuglant « le fromage et le pinard c’est ça l’essentiel! ». Moralité:
qu’importe la neige pourvu qu’on ait l’alcool!
Le 30 décembre 2016 après 7 h 30 un reportage sur un marché de la ville
de Paris se termine par des hurlements d’ivrogne en goguette.
Le 31 décembre 2016 « la revue de presse » (Rémi Ink) se termine par une exhortation à « vider le verre ».
Le premier janvier 2017, dans sa « revue de presse », Rémy Ink fait la
promotion du muscadet et du champagne, et il insiste sur le fait qu’un
être humain passe en moyenne 2 années de sa vie en état second et
vulnérable dû à l’alcool.
Le 3 janvier 2017, pendant l’émission vespérale « le téléphone sonne »,
un ivrogne intervient au téléphone et demande combien de litres d’alcool
il peut absorber chaque jour tout en pouvant faire le don de son foie
lors de son décès…
Le 22 janvier 2017, avant 8 h 30, Patricia Martin découvre, grâce à un
invité, qu’il existe en France une période de ski durant le printemps où
les pistes entretenues sont aussi sûres qu’en hiver; pour s’en remettre
elle nous promet de se jeter sur le premier verre de vin chaud venu…
Le 25 janvier 2017, lors de l’émission « le téléphone sonne » Nicolas
Demorand incite un auditeur à soigner sa gorge avec du miel, du citron
et même « pourquoi pas un bon grog ».
Le 26 janvier 2017 après 7 h Philippe Randé présente un reportage
soi-disant consacré à Manuel Valls à l’occasion des élections primaires,
en fait une séance de billevesées et de saoulerie collective dans un
« peube ».
Le 16 février 2017 dans le journal de 19 h Sébastien Paour fait
l’éloge de Gérard Depardieu parce qu’il boit trop, et « même sur
scène ».
Le 26 février 2017, dans le journal de 7 h 30, on annonce que la
campagne électorale de François Fillon est repartie du bon pied,
notamment à Bourg en Bresse, puisqu’on préfère boire un coup plutôt que de parler du reste…
Le même jour durant le journal de 19 h Yves Decaens assure une généreuse promotion de la consommation de bière.
Décidément bien porté sur l’alcoolisme, Yves Decaens, toujours lui déclare, dans le journal de 19 h du dimanche 19 mars 2017 : « L’administration Trump a mis de l’eau dans son bourbon ».
Le 30 mars 2017, l’animateur du jeu des mille euros insiste
lourdement sur l’attirance pour l’alcool d’un candidat franco-belge
qu’il est en train de présenter.
Le 5 juin 2017, dans le journal de 19 h, Sébastien Paour assure la
promotion de la consommation de bière à propos d’un consommateur
anglais déambulant « une pinte à la main » à proximité d’un quartier de
Londres dédié à la saoulerie collective.Le 8 juin 2017 après 8 h 30 Hélène Jouan fait l’éloge du soudard
Charles Bukowski ivre mort et drogué, finissant par quitter une réunion
télévisée animée par Bernard Pivot.
Le 13 juin 2017, l’animateur du jeu des mille francs (devenu jeu des mille euros) est en extase devant « des chocolats avec à l’intérieur du calva ».
Le 29 août 2017 dans le journal de 19 h, Sébastien Paour lance un nouveau slogan « mieux vaut trinquer que stocker! ».
Le 3 novembre 2017 dans le journal de 13 h on présente un reportage à
Marseille « à l’heure de l’apéritif » pour évoquer une question de
football.
La société commerciale Twitter Inc.
Promotion omniprésente sur l’antenne de France Inter, les êtres humains qui n’ont pas de « compte tout y t’heure » sont considérées comme ayant un statut inférieur.
La société Vinci et Monsieur Vincent.
Revient tous les ans, essentiellement en juin et juillet, un épisode de fadaises mettant en scène un conducteur idiot et niais, nommé Vincent, qui a égaré sa carte bancaire lorsqu’il se présente au péage d’une autoroute…
Le fromage de chèvre fermier « la brousse du Rôve » (appellation d’origine contrôlée).
Le premier mai 2018 la dernière partie du journal de 7 h lui est largement consacrée, le final est un tonitruant : « à consommer sans modération! ».
Livres.
Promotion permanente, ouverte ou insidieuse, qui va en s’amplifiant.
Dérive particulièrement prononcée lors du jeu des mille francs (devenu jeu des mille euros), on y distribue des cadeaux sous forme de livres abondamment commentés, lorsqu’un candidat signale au préalable qu’il aime la lecture on lui demande systématiquement de citer au moins un ouvrage « pouvant être recommandé », encore plus fort depuis la fin 2016 on va jusqu’à demander à chaque candidat lors de sa présentation s’il a lu un livre récemment et lequel…
Lorsqu’une personne est invitée au cours d’un journal, il arrive
qu’on puisse se demander si le seul motif ou le motif principal de cette
invitation n’est pas simplement le fait que cette personne a publié
récemment un livre, abondamment cité avec le nom de l’éditeur (mais pas
le prix…).
Exemples: après 13 h le jeudi 19 janvier 2017, le navigateur François
Gabard est invité par Bruno Duvic, on ne comprend pas bien ce qu’il a à
apprendre à l’auditeur (extraits: « il y a un peu de fatigue sur les bonne homme » (sic), « un espèce de soulagement »
(sic) etc.) jusqu’à ce que Bruno Duvic conclue par un appel pressant à
lire son dernier livre (titre rêver large, éditeur Stock)…
Le 6 février après 7 h 50 l’avocat Maître Dupond-Moretti est invité,
officiellement en tant que défenseur de Théo à la suite des incidents
survenus à Aulnay sous Bois au soir du 2 février 2017, en fait surtout
pour faire une promotion publicitaire appuyée de son dernier livre
« directs du droit ».
Existence du prix littéraire « le prix du livre Inter ». S’y ajoute
brutalement le 20 janvier « le prix du livre étranger France Inter gît
dédé ».
Le 26 janvier 2017 après 13 h la journaliste Marion L’Hour bénéficie
d’une large et longue publicité, de la part de Bruno Duvic, pour son
dernier livre « l’enfer de Bercy ».
Le 7 février 2017 Marc Fauvelle reçoit à 8 h 20 Élisabeth Badinter, et lui pose la question suivante: « question à mille euros cékoi un bon livre? », on comprend que c’est dans l’unique but de lui demander juste après sa réponse de faire un peu de publicité pour quelques livres…
Le 16 février 2017; Nicolas Demorand reçoit Ruwen Ogien pour l’émission « le téléphone sonne », pendant au moins les quinze premières minutes le mot « livre » est martelé, martelé encore et encore par tous les intervenants, il s’agit de son dernier ouvrage « mes mille et une nuits » chez Albin Michel, « lisez ce livre, lisez ce livre, lisez tous ses livres! » clame encore et encore Nicolas Demorand…
Le 5 juin 2017, dans le journal de 13 h, Yves Decaens converse avec son confrère Christian Chesnot à propos du Qatar, il conclut la conversation en assurant une généreuse publicité au livre « Nos très chers émirs sont-ils vraiment nos amis? », livre écrit par Christian Chesnot lui-même et un troisième homme, Georges Malbrunot!
« Livre un terre », « film un terre ».
Expressions insidieuses, absconses et récurrentes, qu’on devine rattachées à des pratiques financières qui n’ont jamais été expliquées à l’antenne à ce jour. Le 16 février 2017, on entend toutefois la mention des « Éditions du Livre Inter »; après recherche cela semble ne pas exister, toutefois on peut trouver sur Internet des ouvrages portant la mention de deux éditeurs dont France Inter, par exemple:
http://www.eyrolles.com/Accueil/Editeur/3968/france-inter.php
Il reste à préciser tout cela, à suivre…
Sources d’information préférentielles de la radio France Inter
- L’école Institut d’études politiques de Paris, alias « Sciences Po » rue Saint-Guillaume à Paris.
- L’Institut Montaigne.
- Toute « haut haine j’ai » (ONG).
- Le « cabinet Colombus Consulting » (http://www.colombus-consulting.com/) du moins le 10 juillet 2017.
- Le « cabinet Protourisme », dès qu’il est question à l’antenne de
statistiques touristiques en France. Voici ce qu’on lit en avril 2018
sur le site de ce « cabinet » à propos de son Directeur Didier Arino :
Titulaire d’une double formation en marketing et en tourisme, il est diplômé d’un MBA in « Hospitality Management ». Il dirige plusieurs établissements dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration puis crée une Agence de Conseil en Communication et Management de Projet en 1992.
Il rejoint le Réseau Protourisme en 1995 où il se spécialise dans les stratégies de développement des marques et des territoires ; il y conduit également le pôle prospective et « intelligence économique ». Assurant la direction générale du Réseau Protourisme, il est un des spécialistes reconnus du tourisme hexagonal.
Il est co-auteur de l’ouvrage « les Marques du Tourisme » (Guide du Savoir-Faire AFI). - Le quotidien « Les Echos », généreusement et immensément copié avec quelques heures de décalage…
- Le « cabinet occurence » lorsqu’il s’agit de compter un nombre de manifestants.
Personnages adulés, louangés, encensés, idolâtrés à l’antenne de France Inter.
- Tout artiste, plus encore tout artiste porté sur l’ivrognerie et la consommation de drogue, en particulier de cocaïne, exemple: Charles Bukowski.
- Toute personne au sexe incertain, toute personne qui change de sexe.
- Tout individu qui fait de sa vie une perpétuelle recherche pour être, pour pouvoir se dire dans une certaine mesure, à la fois Palestinien et Israélien.
- Toute personne pratiquant d’une façon ou d’une autre le métissage
des genres (dans tous les sens possibles de ces mots), par exemple
Ibrahim Maalouf.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ibrahim_Maalouf#cite_note-15 - Toute personne qui glisse un bulletin dans une urne avec une préférence lorsque cette personne sait que son vote ne sert à rien et que les organisateurs du vote n’en ont rien à faire.
Invités préférentiels à l’antenne de France Inter.
- Tout professeur ou chercheur à l’école Institut d’études politiques de Paris, alias « Sciences Po » rue Saint-Guillaume à Paris, en particulier tout membre du CEVIPOF (centre d’études de la vie politique française, c’est en fait le centre de recherches politiques de cette école).
- Tout membre de l’IRIS, institut de relations internationales et stratégiques: http://www.iris-france.org/liris/
- Brice Teinturier, Directeur général délégué de l’institut de sondages IPSOS.
- Le politologue Stéphane Rozès, enseignant à l’école HEC et aussi à « Sciences Po »: https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Roz%C3%A8s, il a été plusieurs fois insulté en direct par des auditeurs à l’antenne lors de l’émission le téléphone sonne au prétexte qu’il conseille entre autres la principauté de Monaco.
- Tout professeur à l’Université parisienne Pierre et Marie Curie.
- Nicolas Beytout.
- Eric Ciotti.
- Tout membre de la Fondation pour la Recherche Stratégique.
- Tout membre du Club Jean Jaurès.
- Tout membre de l’Institut Montaigne.
- Patrick Pelloux, médecin urgentiste aux multiples activités dans les médias dont Charlie Hebdo, on l’a entendu à l’antenne de France Inter presque chaque semaine durant six mois après la vague de chaleur de l’été 2003, jusqu’à ce que certains de ses confrères agacés y mettent le holà.
Le jeu des mille francs à France Inter (devenu le jeu des mille euros).
C’est le jeu le plus ancien de la radiophonie française : la première émission eut lieu le 19 avril 1958 au Blanc dans le département de l’Indre.
Mardi 12 novembre 2013
Une question où il fallait trouver une animatrice de France Inter,
Noëlle Bréham, N Stoufflet glisse alors les références de son dernier
livre avec l’éditeur…, et on remet ça à la question rouge pour trouver
une émission de télévision, et de trois à la fin avec une publicité sur
le livre offert aux participants au jeu! Et aussi: « cépakunequestiondkastinne ».
Et de quatre on annonce pour la semaine prochaine des enregistrements du
jeu des mille francs à Paris en appariant un auditeur et un
présentateur de France Inter, en réalité une partie de triche avec les
clameurs en fond de salle de ceux qui ont bu plus que de raison…
Période du 19 décembre au 23 décembre 2016
Le jeu est présenté depuis l’école élémentaire Claude Debussy à
Rouen. Chaque jour l’animateur vante les mérites de cette école, il la
couvre de louanges, il est presque en extase au prétexte que cette école
est « une école spécifique pour l’inclusion, une école d’harmonie »,
qu’elle comporte de nombreux enfants immigrés, qu’elle est située dans
un « quartier prioritaire sensible », qu’elle est classée en réseau
rèppe plus (sic) » . Pour l’animateur cette énumération en fait une
école d’exception, une école supérieure aux autres, une école phare de
la nation française.
Le jeudi 22 décembre alors qu’il demande aux candidats leurs souhaits
pour Noël, il est sévèrement contré par un élève de CM1, prénommé Ryan,
amateur de mathématiques et de football, élève qui lui rétorque qu’il ne
fête pas Noël et qu’il ira à cette occasion au Maroc…
Dérives actuelles:
Bruitages : pendant
le temps de réflexion des candidats (souvent augmenté artificiellement à
la demande de l’animateur lui-même), notamment pour les questions du
banco et du super banco, un assistant monte au maximum le retour du son
d’ambiance, à la suite de quoi l’auditeur a droit aux hurlements d’un
bébé dans la salle, à un mouchage de morve bien gras et épais, à l’avion
ou au train qui passe à proximité, au conciliabule parfois agrémenté de
grossièretés et obscénités fleuries entre les deux candidats…
Descartes écrivait « je pense donc je suis », à ce moment du jeu on dit « je bruite donc je suis ».
A la suite de ce signalement, le défaut du bruit de fond disparaît en
avril 2017, seuls subsistent les échanges entre les deux candidats.
Entre soi : certaines
questions se rapportent directement au monde de la radio et de la
télévision, par exemple il faut citer un ou plusieurs animateurs précis
de radio.
Langue française.
A la fin de l’année 2016 l’animateur annonce une semaine spéciale
à compter du 19 décembre par ces mots, du moins par ces sons étranges: « un spécial jeunejeune », le dernier « mot » étant prononcé avec une vitesse d’élocution supérieure de 50% à son débit habituel.
L’animateur Nicolas Stoufflet travestit de temps en temps ce jeu en « jeu des mille ».
Obscénités.
Le 19 septembre 2017 l’animateur interpelle un candidat avec ces mots : « vous astiquez un peu votre engin pour profiter de la vie ».
Publicité insidieuse.
On y distribue des cadeaux sous forme de livres, abondamment commentés,
écrits par des journalistes de France Inter, lorsqu’un candidat signale
au préalable qu’il aime la lecture on lui demande systématiquement de
citer au moins un ouvrage « pouvant être recommandé », encore plus fort
depuis la fin 2016 on va jusqu’à demander à chaque candidat lors de sa
présentation s’il a lu un livre récemment et lequel…
Lorsqu’un candidat déclare s’intéresser au cinéma, on lui demande de
citer au moins un film et d’en faire la promotion, par exemple
« Manchester by the sea » le 9 février 2017.
Le premier mars 2017, l’animateur essaie, vainement, par tous les
moyens, d’amener le second candidat à parler de cinéma, il conclut alors
lui-même en faisant de la publicité pour le film « la la land » alors
que ce sujet n’a strictement rien à voir avec le reste de l’émission du
jour.
En mai 2017, l’animateur remet systématiquement aux candidats à la fin
de chaque émission « un cahier de devoirs de vacances pour jeu des 1000
euros, édité chez Marabout », et en assure une généreuse publicité à
l’antenne.
Bruitages.
Tout « reportage » dans un bureau de vote français (en fait bavardage insignifiant au frais du contribuable) comporte une sorte de coup de marteau suivi des mots « a voté » claironnés haut et fort.
Présentation des journaux de la radio France Inter
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