Le Bois-Corbeau, Cheix-en-Retz, patrimoine en péril!
Le Bois-Corbeau, Cheix-en-Retz, patrimoine en péril!

Le Bois-Corbeau, Cheix-en-Retz, patrimoine en péril!

Bois-Corbeau, Cheix-en-Retz, patrimoine en péril, accès barré par un tronc d'arbre, 9 mars 2020.
Bois-Corbeau, Cheix-en-Retz, le 9 mars 2020, la chapelle, le bâtiment central, une ancienne ferme, plus basse et au mur blanc, accolée à droite.

 

Localisation et accès du Bois-Corbeau.

La propriété est privée et non accessible au public.

Néanmoins, le circuit pédestre de la Pierre Tremblante passe à proximité du château de Boiscorbeau, en empruntant le chemin des soupirs qui débouche sur un calvaire.
Depuis la partie nord du chemin des soupirs, il est toujours possible d’apercevoir le sommet de la chapelle du Bois-Corbeau, et aussi, suivant la saison, une petite partie des bâtiments.
Le chemin des soupirs débouche, dans sa partie sud, sur un calvaire construit sur un lieu d’exécutions sommaires de “bandits vendéens” par des “soldats bleus” durant la guerre civile (mars 1793 à octobre 1795). Ce calvaire était encore récemment un lieu de procession des “Rogations” (prières publiques que l’Église catholique fait pour obtenir de bonnes récoltes, pendant les trois jours qui précèdent la fête religieuse de l’Ascension).

Histoire de Bois-Corbeau

 

Le château de Bois-Corbeau date du XIVe siècle et sa chapelle du XIIe siècle.

La chapelle du château de Bois-Corbeau date du XIIème siècle et fut édifiée par les moines de l’abbaye de Sainte-Marie-de-Pornic. Le château date du XIVème siècle, avec un bâtiment supplémentaire au début du XXème siècle.
La terre noble du Bois-Corbeau appartenait, dès le XVème siècle, à des échevins nantais.

Citons quelques propriétaires successifs.
René de Kercy, de 1482 à 1542.
César d’Aiguillon, de 1659 à 1664.
Julien de Richardeau, de 1664 à 1671.
Claude Bretin, épouse de Julien de Richardeau, en 1671. Cette dernière fait procéder au bornement du domaine en 1679, ainsi précisé: “d’un costé la rivière de Grand-Lieu conduisant de Pillon à Rouans, d’austre costé le chemin quy conduist du Pellerin à Veue, d’un bout, vers la soleil  levant, le chemin quy conduist du Pellerin à Pillon, d’austre bout le chemin quy conduist du village de la Tousche à l’estang de Malnoë”.
Joseph-Marie-Pierre de Gravelaye, dont le père avait acquis le domaine judiciairement.
Charles Guchet de 1719 à son décès, il laisse pour héritiers ses enfants mineurs.
Claude Blanchet, seigneur de Fougères en 1732, sur adjudication.
Claude-Christophe Blanchet, son fils.
Jean-Baptiste Brillaud du Noyer, en 1753, époux de Louise Blanchet de Fougères (elle-même sœur de Claude-Christophe Blanchet).

Camille Brillaud de Laujardière acquiert la pleine propriété du Bois-Corbeau le 19 janvier 1882 par tirage au sort dressé par Maître Jaquelin, notaire à Vue. Il décède le 19 novembre 1917, laissant son épouse survivante, Henriette de Guerry, et cinq enfants, dont Madame Marie Josèphe Camille Renée Brillaud de Laujardière, épouse de Monsieur Jean Joseph Octave Raymond Bergeron, propriétaire terrien dans le Loiret (domaine des Prateaux), commandant de l’armée de terre.
Lien vers Bois-Corbeau et Cheix-en-Retz autrefois, photographies.
Marie Josèphe Camille Renée Brillaud de Laujardière acquiert la pleine propriété du domaine du Bois-Corbeau le 23 septembre 1934 par acte de vente par licitation des autres héritiers et ayants-droit de Camille Brillaud de Laujardière, acte reçu par Maître Anjoran, notaire au Pellerin. Veuve non remariée, elle décède le 5 août 1975 au Bois-Corbeau, laissant pour héritiers ses deux fils, Antoine-Marie Bergeron et René-Régis Bergeron.

Article consacré à Antoine-Marie Bergeron (lien)

Avertissement pour la suite.

Certains passages contenus dans la suite de cet article peuvent choquer de prime abord.
Ce contenu relate ou évoque des faits avérés, ne contient ni imputation ni allégation, et ne constitue pas une infraction à la loi française du 29 juillet 1881, en particulier à l’article 29 de cette loi relatif au délit de diffamation publique.
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(This content is not a violation of the First Amendment of the Constitution of the United States of America.)


Antoine Marie Bergeron
, médecin, fils aîné du propriétaire précédent acquiert, le 15 mars 1976, la pleine-propriété d’une partie centrale du domaine du Bois-Corbeau, incluant les bâtiments, en exécution d’un testament-partage rédigé par sa mère, l’autre partie, périphérique, revenant à son frère cadet René-Régis Bergeron, contrôleur général aux armées, de manière symétrique René-Régis Bergeron obtient la partie centrale de la propriété solognote des Prateaux , Antoine-Marie Bergeron en recueillant la partie périphérique.

De 1976 à 1988 Antoine-Marie Bergeron, son épouse Luce Rougerie, et leur fils unique Axel Bergeron, rénovent de leurs mains la maison de Bois-Corbeau, rangent et réaménagent légèrement l’intérieur, réunissent le bâtiment central et la ferme attenante après le départ du dernier fermier, Monsieur Dubreil.

Antoine-Marie Bergeron, né en 1927, se marie en 1952, sans contrat et sous le régime de la communauté légale de l’époque (communauté des meubles et acquêts) avec Juce Josiane Rougerie, étudiante en médecine. De cette union naît un fils unique, Axel Bergeron. Issue d’une famille peu fortunée et brillante étudiante, Luce Rougerie abandonne ses études médicales juste avant de passer ses derniers examens et devient femme au foyer. Antoine-Marie Bergeron exerce son art à Bouaye de 1952 à 1972, puis acquiert les spécialités d’allergologie et de phlébologie tout en exerçant à l’Hôtel du Parc à Tessé-la-Madeleine de 1972 à 1976, s’installe ensuite à Nantes place du Commerce. Il fait valoir ses droits à la retraite en 1988, année du décès prématuré de Luce Rougerie dans la maison familiale à Bouaye, des suites d’une longue et cruelle maladie.

Antoine Marie Bergeron se rapproche alors de Madame Ivane Buteau, pédicure et podologue, née en 1952 donc vingt-cinq ans plus jeune que lui, fille aînée de Claude et Monique Buteau, (des amis de longue date du Docteur Bergeron et de son épouse). Claude Buteau a été un temps instituteur à l’école publique de Bouaye et a eu pour élève, entre autres, Axel Bergeron…

 Lien vers la famille Buteau, indispensable pour comprendre l’histoire contemporaine de Bois-Corbeau


Après avoir déclaré à son fils Axel: “cette fille va se suicider” (sic), puis lui avoir dit qu’il s’agit d’un mariage blanc, Antoine Marie Bergeron finit par épouser en secondes noces Ivane Buteau, sans contrat et sous le régime de la communauté légale à l’époque, la communauté réduite aux acquêts, en octobre 1990.

Peu à peu Antoine-Marie Bergeron part vivre à Bois-Corbeau. Il s’éloigne ainsi progressivement de Bouaye, de cette maison familiale initiale, construite en 1962, où le Docteur Bergeron avait ses pièces professionnelles, maison familiale délaissée et très durement cambriolée de nuit à deux reprises au début de l’année 1992 (sans compter une tentative déjouée par le Docteur Bergeron alors qu’il était sur place). Cette maison est presque totalement vidée de ses meubles (déménagés à Bois-Corbeau, gratuitement, par un ancien client…), par le Docteur Antoine Marie Bergeron durant l’été 1992, en cachette de son fils Axel qui ne retrouve que sa chambre ou presque, au retour d’un voyage estival… L’un des dictionnaires de latin d’Axel Bergeron a disparu, interrogé à ce sujet le père écrit: “ce livre m’a été donné par les Desplace dans ma jeunesse”, précisons que le père avait donné ce livre à son fils, pour ses études, depuis les années 1960…  Mis devant le fait accompli Axel Bergeron se résigne à vider cette maison (en indivision) de ses derniers meubles, meubles transférés à Pornic, durant l’automne 1992. La “maison de Bouaye”, (nommée “l’ornière” par le docteur Bergeron et son épouse à la suite d’une réflexion d’un membre de la famille du Docteur, “tu es tombé dans l’ornière”) est finalement vendue en 1993. Le Docteur Bergeron déclare après coup qu’il avait pensé en “faire un musée”, que ne l’eût-t-il dit plus tôt, et pourquoi donc les parents d’Axel Bergeron, qui envisageaient déjà de quitter cette maison dès 1985, n’ont-ils pas accédé au souhait de leur fils, lequel proposait alors de l’acquérir et en avait parfaitement les moyens financiers?
C’est dans cette maison que Luce Rougerie a fini ses jours le 22 juillet 1988, des suites d’une “longue et cruelle maladie”.

De 1988 à 2018 Bois-Corbeau est l’objet d’un sommaire entretien courant, sans aucune volonté de valorisation contrairement à la période du premier mariage d’Antoine-Marie Bergeron.
Une visite de contrôle d’assainissement non collectif, en …  , conclut à une installation non conforme et une obligation de travaux avant ….    2023, strictement rien n’est fait.
Ivane Buteau occupe les lieux telle une inerte pièce rapportée, ou pire, plus précisément, une “pièce apportée”, ainsi en 1991 on l’entend se plaindre: “je n’ai pas un placard pour ranger mes affaires!”… En plus de trente années et encore à ce jour, on ne l’a jamais vue passer une tondeuse, enlever une ronce, gratter une pierre…

Entre 1990 et 2018 le mobilier de Bois-Corbeau subit de nombreuses prédations, encore inexpliquées avec précision à ce jour, Ivane Buteau arguant tantôt de la visite d’un brocanteur, tantôt des vols d’un cousin suisse prédateur ou véreux: disparition de la totalité de la collection d’armes (à ce jour seulement quatre sont retrouvées chez un recéleur qui refuse de les rendre), disparition de la totalité de la vaisselle courante et des instruments de cuisine utilisés par les parents du Docteur Antoine-Marie Bergeron, disparition de la table de ping-pong en bois d’Axel Bergeron (sauf les accessoires qui eux sont toujours restés rangés à leur place…), disparition d’un micro-tracteur Labor Hako 12/39 et de son bac de ramassage de l’herbe acheté à la Camif par Axel Bergeron et ses parents le 16 mars 1987, disparition de la guitare du peintre Roger Desserprit (compagnon de Mme Ginette Rougerie, sœur de Luce Rougerie, première épouse du Docteur A-M Bergeron).
Tout cela s’ajoute à la dégradation volontaire de toute une partie ancienne qui lui fait perdre son caractère, disparition de cheminées entre autres.

Au début des années 2000 Bois-Corbeau échappe (provisoirement?) au pire lorsque Antoine-Marie Bergeron envisage d’accueillir là des réfugiés syriens en dehors de toute structure encadrée… L’intervention d’un cousin, François Brillaud de Laujardière, actuellement maire de la commune du Pellerin, parfaitement au fait des réalités de ces accueils et de leurs conséquences, ramène Antoine-Marie Bergeron à la raison et sauve ainsi Bois-Corbeau d’une fin rapide.

Après avoir déclaré à d’innombrables reprises, depuis 1990, dans un sourire narquois, à propos de son fils unique et de sa seconde épouse tous deux d’âge proche: “mais lequel des deux crèvera donc en premier?”, Antoine-Marie Bergeron décède le 11 septembre 2018, en laissant face à face, ou plutôt bord à bord, sabord contre sabord, tels deux navires de combat dont chacun cherche d’une ultime estocade à envoyer l’autre au fond, son fils Axel, héritier unique, et sa seconde épouse Ivane Buteau, ayant droit.

IVANE BUTEAU:

Le prurit, le corps étranger en immuable procrastination obcessionnelle.
Elle continue d’habiter sur place, dans l’ancienne ferme, recluse dans un espace de plus en plus réduit, et on peut dire en usant de la seule force d’une personne qui a les clefs, en décidant surtout de ne rien faire et de laisser le patrimoine se dégrader.
Les tinettes, reliées à un assainissement non collectif, se remplissent inexorablement…

Des pierres venues d’ailleurs le 14 mars 2020… Au premier plan la boîte à lettres porte toujours le nom du Docteur Bergeron

 

 

Un rocher venu d’ailleurs le 9 mars 2020… Folie furieuse ou grande terreur?

 

 

 

 

 

 

Une partie du mobilier du Bois-Corbeau offert aux oiseaux et aux rongeurs, le 01 12 2019… Axel Bergeron sauve provisoirement ce fauteuil avec les moyens du bord, en isolant les pieds de la terre battue sur laquelle Ivane Buteau l’avait abandonné.

 

 

 

 

 

 

Une dépendance en ruine.
Déjections au sol, oiseau niché. Un garage en ruine, le 30 novembre 2022. Gisant au sol une échelle double, de marque Richomme, achetée à la CAMIF par Axel Bergeron et ses parents dans les années 1980…

Un petit chat malingre est parfois le seul être, aimable, à accueillir le visiteur…

Après les obsèques d’Antoine Marie Bergeron, le premier coup d’éclat d’Ivane Buteau consista à aller solliciter en cachette, en espérant recruter quelques complices, l’étude notariale du Pellerin alors qu’un rendez-vous avait été pris, en commun, en l’étude notariale située route de Saint-Michel à Pornic…
Il s’en suivit quatre années de procédure au terme de laquelle les biens d’Antoine-Marie Bergeron sont démembrés et partagés. A l’issue de la réunion de partage, le 8 décembre 2022, Ivane Buteau, dans un dernier jet de bave immonde, proféra: “j’avais sous-estimé l’attachement d’Axel à cette maison, il n’y venait pas souvent”, propos immonde au dernier degré quand on sait qu’elle a tout fait pour dégrader et travestir les acquis d’Axel Bergeron et de ses parents, eux qui ont travaillé à la valorisation et l’entretien de cette maison familiale, et quand on sait qu’elle a tout fait pour insulter, dénigrer, escroquer, spolier, dépouiller, déposséder, déshériter, gruger, escroquer en bande organisée, léser, voler, démunir, frustrer, terroriser, déclasser, intimider, humilier, rabaisser, salir, couvrir d’opprobre et de vindicte, discriminer en raison de sa seule existence, ravaler à un statut d’être inférieur, avilir, Axel Bergeron, de manière frauduleuse en détournant le Code Civil au seul but de malveillance, avec l’état d’esprit du rustre achevant une punaise de lit d’un formidable coup de sabot en bois sur un carrelage mal équarri…
Quatre années durant lesquelles Ivane Buteau paraît à Bois-Corbeau de manière de plus en plus épisodique et secondaire, tout en en revendiquant la propriété. Le 31 décembre 2022 elle y surgit en voiture à la tombée de la nuit et tourne en rond telle un zombie…

De Bois-Corbeau à Taudis-Buteau.

Printemps 2023
Bois-Corbeau devient en partie un bouge, un capharnaüm à l’odeur d’encens, sans caractère, agrémenté de quelques radiateurs électriques fonctionnant à plein régime, même portes ouvertes, dans une passoire énergétique!
Tout le mobilier, patiemment acquis, avec un éclectisme certain, par les générations précédentes est maintenant à son tour menacé de ,mise dans une pièce insalubre et non gardée…
Ivane Buteau accueille les visiteurs en braillant ou insultant, téléphone cellulaire en main essayant de prendre quelques photographies sans consentement…

Premier septembre 2023

Madame se baguenaude!
Surgie de nulle part, Madame le barine se baguenaude…

 

Vite, par ici les escrocs et les prédateurs, hum ça sent bon ici, y’a à becqueter à Bois-Corbeau!

Ivane Buteau se fait établir un devis de plus de 12 000 euros (Société Atlantic environnement, à Rouans, à vérifier) à fin “de refaire les allées”, c’est à dire de renouveler les gravillons. Interrogée à ce sujet elle déclare qu’il faut creuser et désherber…
Pendant ce temps, de ses mains, Axel Bergeron désherbe pour une bonne année une partie de ces allées, avec un bon produit adapté, gratuitement…

Évolution du patrimoine immobilier.

 

Le calvaire à l’entrée de Bois-Corbeau, décembre 2008. Capture d’écran Google Maps.
Ce qu’il reste du calvaire, à l’entrée de Bois-Corbeau, le 6 septembre 2021. Ivane Buteau ayant décidé de séquestrer la statue et la traverse de bois chus peu avant. Il ne reste rien non plus de l’inscription qu’Antoine-Marie Bergeron repeignait épisodiquement…

L’étape finale?

Ancien manoir de Guy Lux Les Choux printemps 2019
Bois-Corbeau subira-t-il le sort de l’ancien manoir de Guy Lux (Les Choux, printemps 2019)? Ou finira-t-il comme la résidence de Carinhall, où le “Reichsmarschall des Großdeutschen Reiches” Hermann Göring et son épouse Emmy Sonnemann veillaient sur leur collection mobilière dans les années 1940?
Carinhall en 1947… לא יועילו אוצרות רשע

Les dépendances.

Une partie est occupée (en location) par Monsieur Daniel Mabileau, petit-fils d’un fermier présent sur place dans les années 1960 1970. Homme au “lourd passé”, passé dont il garde la marque, (une belle “gueule de travers”), il mène une carrière de garde-chiourme zélé, de Tonton Macoute défroqué, dévisageant de loin les rares visiteurs, tentant maladroitement de se dissimuler, braillant parfois dans sa petite voiture utilitaire, avant de  rendre compte à Ivane Buteau…

La chasse.

Depuis des temps immémoriaux le gibier est régulé sur le domaine. On y a compté une très importante colonie de lapins dans les années 1960. A la fin du vingtième siècle, comme partout en France, le gros gibier s’y développe: cheveuils, sangliers. Les traces de sangliers sont très nombreuses et en augmentation dans les années 2020.
Après son arrivée sur place Ivane Buteau décide insidieusement de dégrader l’équilibre agro-sylvo-cynégétique du domaine. Elle soutient un jour que “les chasseurs ont fait peur à un chat”. Le locataire de chasse en place en 2018, décède le même jour que le Docteur Antoine-Marie Bergeron. Ivane Buteau entreprend alors, sans mandat des héritiers, d’établir un bail de chasse portant en partie sur des terres périphériques ne dépendant pas de la succession d’Antoine-Marie Bergeron… En décembre 2021 elle établit de nouveau, seule, un bail précaire du même acabit, d’une durée d’un an, valable jusqu’au 7 décembre 2022.
Extrait de ce bail précaire rédigé par Ivane Buteau, une illustration de plus du caractère viscéralement haineux et discriminatoire d’Ivane Buteau: “Il est précisé que Monsieur Axel Bergeron pourra venir chasser sur les terres présentement louées, mais à la condition d’être accompagné par au moins l’un des preneurs”
Cette situation s’assainit partiellement durant l’hiver 2022-2023, car le locataire de chasse signe un bail en bonne et due forme avec le propriétaire des terres périphériques, Pierre Bergeron. Quant à savoir ce qui se passe sur les terres centrales, motus et bouche cousue, le locataire de chasse se fait discret.
Toutefois une battue a lieu le dimanche 5 février 2023.

Et pendant ce temps, bien loin de ces turpitudes, à trois kilomètres:

Le château de Briord retrouve son éclat d’antan

 

Ou encore là où Luce Rougerie pratiqua l’équitation dans les années 1960…

Princé, à Chaumes-en-Retz