Saint-Brévin-les-Pins, Boulevard Padioleau, de la tranquillité au grand remplacement.
Saint-Brévin-les-Pins, Boulevard Padioleau, de la tranquillité au grand remplacement.

Saint-Brévin-les-Pins, Boulevard Padioleau, de la tranquillité au grand remplacement.

Il était une fois une promenade paisible, boulevard Padioleau, Saint-Brévin-les-Pins.

Saint-Brévin-les-Pins ou le charme suranné d'un front de mer paisible
Saint-Brévin-les-Pins, le boulevard Padioleau au début des années 2000, la tranquillité et une place assurée pour tous.

En 2020 Yannick Morez est réélu maire de la ville de Saint-Brévin-les-Pins pour un second mandat, sa liste ayant obtenu 33,34 % des suffrages exprimés, et 92 voix de plus que la liste arrivée en deuxième position…
Tandis que des maires de France de qualité pensent et agissent en fonction des intérêts des générations futures, Yannick Morez, lui, pense et agit selon ses seuls désirs et obsessions en pensant à la prochaine échéance électorale.
Il décide de saccager de fond en comble le boulevard Padioleau, situé en bordure de mer, héritage des générations passées qui ont légué là une tranquille promenade en front de mer assurant à tous, piétons, conducteurs de véhicules à deux roues motorisés ou non, conducteurs de véhicules à quatre roues et plus, venant de n’importe où sur la planète, l’assurance de pouvoir faire une halte paisible à Saint-Brévin-les-Pins.
Il organise une “consultation publique” et se vante d’avoir obtenu 300 réponses, 300 sur plus de 15 000 habitants dans la commune et plus de sept milliards de visiteurs potentiels…
Seul (après le vote en séance du conseil municipal, où ses suiveurs font Ça sans même avoir lu l’ordre du jour de la séance), il mandate pour cette destruction un quarteron de choc de “consultants” et autres “agences” ou “cabinets de conseil”:

“L’agence Céramide”
“L’agence Magnum”
“L’atelier Campo”
“le groupement Noctiluca”

A Saint-Brévin-les-Pins comme partout ailleurs, depuis le début des années 2000, les cabinets de conseil se sont infiltrés et sont à la manœuvre à tous les niveaux de décision en France, du plus haut sommet de l’État aux municipalités. Les municipalités (c’est à dire les contribuables) les payent grassement (factures au “tarif collectivité”) pour être dépossédées et asservies.
Ces “cabinets” vendent leurs “solutions”, leur “magie du changement”.
(Jusqu’au récent livre Les Infiltrés – Comment les cabinets de conseils ont pris le contrôle de l’État par Matthieu Aron, et Caroline Michel-Aguirre l‘histoire de cette infiltration n’avait jamais été racontée. Et cette prise de pouvoir encore moins démocratiquement approuvée. Les choses se sont faites par acceptations ou résignations successives. L’État et les municipalités ont été parfaitement consentants et complices. Lire ici)
Et donc, à Saint-Brévin, ça grouille, ça grenouille, ça scribouille, ça se repait, ça boit sec à la santé du maire moqué en privé en ces termes: “un brave type, docile et bien-pensant, encore six mois et on lui vendra du sable de plage!”, et ça émarge dur au budget de la commune en visant les 2 604 889 € hors taxes!

Le visage de la “requalification” selon Yannick Morez.

Un visage à plus de trois millions d’euros pour satisfaire l’égo d’un homme qui n’est rien d’autre qu’une marionnette entre les mains d’un quarteron. Objectif des infiltrés: promouvoir et vendre cette chose pour 2024… Au début de l’année 2022 les tractations vont bon train pour désigner et dénicher des complices payeurs ou contributeurs.
Voici une esquisse publiée par la presse locale:

le grand remplacement, la haine, la discrimination à Saint-Brévin-les-Pins.
L’immonde phagocytose du néant par le vide à Saint-Brévin-les-Pins. Un cycliste s’agite sur place, portant un keffieh et une djellaba, trois hommes dont un officier de marine en uniforme ordonnent à une femme de se jeter à la mer ou d’accepter leurs avances. Il n’y a aucune végétation endogène hormis des arbres tordus et partiellement calcinés, les bâtiments aux façades minérales ont leurs fenêtres obturées comme en état de guerre.

Cri de guerre des hérauts du quarteron: “c’est nous qu’avons les engins de chantier, c’est nous les plus forts, tirez-vous ou crevez!” La valise ou le cercueil…

Printemps 2017. In Sancto Brevino delirium tremens? (Photographie Hervé Pinson, actu.fr, DR)

Alternatives (car la critique n’est pas tout).

Conserver ce boulevard, qui est aussi une promenade, dans sa configuration actuelle. Toute modification de la voirie “à la mode” augmente considérablement le volume du béton et d’enrobé présents, tout simplement parce que les entreprises intervenantes sont rémunérées au volume de béton. on présente un projet de “verdissement” en dessinant exclusivement le résultat horizontal et en hauteur on multiplie par cinq le volume de béton…
Supprimer la végétation non endogène, les palmiers n’ont rien à faire ici.
Abaisser la hauteur du trottoir le long du stationnement en épi, actuellement la hauteur est trop importante et on abîme les dessous de véhicules. Il est même possible de faire une pente de trottoir non verticale pour plus de douceur et un meilleur accueil du visiteur.

Autres marques de la folie furieuse de Yannick Morez maire de Saint-Brévin-les-Pins, secondé par Alain Coutret.

(Alain Coutret est l’adjoint numéro 6, chargé de la voirie et des réseaux, comprendre c’est l’homme qui “valide”.)

1°) L’avenue de la guerche 525 000 € (Prévision…)

Référence: Le Courrier du Pays de Retz, page 21, 7 janvier 2022.
On y relève le vocabulaire caractéristique des “infiltrés”(lire ci-dessus) en usage dans toute la France:
“Déplacement doux”, “apaiser”, “fossé végétal”, “plateau ralentisseur” (évidemment hors-normes et illégal puisque ce type d’aménagement n’existe pas en droit, lire ici), “piste cyclable à double sens”.

2°) La base nautique du Pointeau

(Dossier de présentation municipal)

Encore une illustration de la folie furieuse qui s’est emparée des “décideurs” depuis le discours de Jacques Chirac (qui cherchait ainsi, entre autres, quelque moyen de rejeter sur les autres la responsabilité de son accident de voiture du 26 novembre 1978 alors que cet accident n’est dû qu’à sa seule inaptitude personnelle face aux conditions extérieures ce jour-là), discours donc en date du 14 juillet 2002 et qui a vu le signal du lancement de la plus vaste campagne de terreur, d’intimidation, d’humiliation, d’abaissement, de dénigrement, de salissure, d’opprobre, de vindicte, de discrimination en raison de leur seule existence, d’abaissement à un statut d’être inférieur, à l’encontre de tous les conducteurs de véhicules à moteur, en particulier des automobilistes. Depuis ce jour funeste, toutes les villes, tous les villages de France, sont progressivement le théâtre de travaux aux factures, disons “généreuses”, financés par des fonds publics, exécutés la plupart du temps à la suite de demande de quelques “riverains” exclusivement soucieux de leur convenance personnelle au détriment du confort des sept autres milliards d’usagers potentiels de la voirie publique, travaux souvent précédés d’une présentation effectuée, évidemment aux grands frais de la collectivité, par quelques “bureaux d’études” spécialisés dans la confection de brochures dont le caractère luxuriant ou tapageur de la forme ne cède en rien à la vacuité du fond, travaux au final exécutés sous couverture de “sécurisation”, “requalification”, “apaisement”, “favorisation de circulations douces”, “développement durable”, “déclassement” selon le jargon de la pensée unique actuellement en vigueur quelle que soit l’orientation politique des décideurs-payeurs.

La couleur du sol semble gêner M. Morez à cet endroit, eh bien il existe actuellement beaucoup de revêtements perméables adaptés au stationnement, c’est une question de volonté, inutile de supprimer une seule place, inutile de dépenser des millions d’euros, inutile de créer de la pénurie et de la gêne là où la place ne manque pas.